LACOUR Laurence - Jendia, jendé. Tout homme est homme. (Sur le chemin de Compostelle).
Année de parution: 2003
Langue: Français French fr
(FRA. Paris, Bayard. 2003) : en 1998, du Puy à Santiago ; le froid, un drame intérieur, des rencontres insolites ; réflexions de l’abbé Ihidoy (Navarrenx).
Publié le
28 juin 2006
- Mis à jour le
18 mars 2019
Messages
Je remercie Laurence Lacour d’avoir fait le chemin de Compostelle, d’avoir écrit son livre, en toute simplicité... et d’avoir permis en 2004 de faire paraître un article dans un magazine, article qui m’est tombé entre les mains.... vous devinez, j’ai lu le livre et 15 jours après j’étais sur le chemin de Saint Jacques au Puy en Velay...
Alors que je savais pas l’existence du chemin de Saint Jacques de Compostelle...
oui, merci Laurence
Ce livre est écrit en toute simplicité. Laurence marche, découvre, rencontre, toujours simplement... sans emportements, sans extravagances, tout simplement... un chemin inconnu, en saison assez rude, par rapport à la transhumance de printemps et d’été, des rencontres insolites, des gens quii souffraient, Laurence elle même souffrait, une souffrance intolérable, que les pas, l’un après l’autre, n’ont pas effacée, mais peut-être, en donnant la main à d’autre souffrances qui ont surgi de ci-de-là, ont aidé, tout simplement...même péniblement
Et l’intervention du Père Ihidoy, une reflexion intense, profonde, et simple aussi, d’un père qui aime tous ses enfants tous très différents les uns des autres, un père très curieux devant tous ces gens venant de tous les coins du monde
J’ai pris ce chemin, libérée de tout ce qui concernait mon passé. Je n’avais plus d’attaches... Il me fallait seulement trouver l’avenir, comme Laurence...
l’avenir est devant moi mais pas trouvé... mais il est en train de se former... en marchant lentement, avec patience....Le chemin était obstrué et ne l’est plus. Cela ne veut pas dire que les difficultés sont évincées.. Il faut continuer la vie...il le faut...
J’ai été près de Laurence durant tout le chemin, du Puy en Velay jusqu’à Fisterra.. et aujourd’hui encore, je reste près d’elle...son parcours est le mien aussi..
C’est Laurence qui m’a montré le chemin
Merci Laurence
et aussi Laurence, je vous présente tous mes meilleurs voeux pour 2006
France
Chère Madame ou Monsieur ?
Pourquoi ai-je le sentiment que vous seriez plutôt une femme qu’un homme ? A moins que je vous ai mal lu(e) ?
Je n’ai pas pour habitude de naviguer sur le net mais là, je tombe tout à fait par hasard, sur votre message qui m’est donc destiné et qui me touche profondément. Je ne sais rien de vous mais j’imagine un peu compte tenu de l’expérience qui nous lie. J’ignore même si ce message vous parviendra mais si c’était le cas, je serais heureuse d’échanger avec vous.
Bien à vous.
Laurence Lacour
Voir en ligne : Jendia Jendé
Bonjour Laurence
Je suis très honorée de recevoir une réponse de votre part.
Vous avez été très courageuse, ce 6 octobre pluvieux, de partir seule vers Compostelle.
Je suis partie le 8 mai 2004 donc il y a deux ans jour pour jour aujourd’hui.
je partais à midi de la cathédrale du Puy en Velay accompagnée de quelques gouttes de pluie seulement...
Je trouve incroyable, aujourd’hui encore, d’avoir fait cette longue marche, décidée en un rien de temps, après la lecture de votre article, ce printemps 2004
Je me sens imprégnée de cette expérience, perturbée certes, mais je suis devenue très très riche... je me demande comment cela se peut...
D’autant plus que vous me permettez de vous connaître..
Merci Laurence
Janine