Les femmes seules sont-elles en sécurité ?
Bonjour,
Je reviens de Compostelle. J’ai fait seule le Chemin aussi bien en France (Via Podiensis) qu’en Espagne (Camino Frances)
Aucun souci de sécurité. Meme les chiens que l’on dit quelquefois agressifs ne le sont pas tant que ça (un seul, vraiment effrayant, rencontré en cours de route )
Le seul vrai problème, c’est la solitude : meme si elle est voulue et choisie, elle peut-etre, quelquefois, difficile a vivre. Mais ça ne dure que le temps d’une bonne crise de cafard (du moins, ce fut ainsi pour moi) parce que le Chemin est aussi l’occasion de rencontres fantastiques. Aussi bien parmi les autres pèlerins que parmi les "autochtones".
J’ai ainsi le souvenir d’un couple de retraités qui m’a offert une tasse de café à Cravencères ou d’une petite mamie espagnole qui m’a offert une fraise en s’arrêtant pour me faire la causette (elle parlait plutot bien le français)
Je n’aurais certainement pas fait ces rencontres si j’avais été intégrée dans un groupe.
Et je ne parle pas des bistro espagnols où je rentrais le matin tot pour un "café con leche, Señor, grande por favor" auquel s’ajoutait souvent, sans que je l’ai demandé et bien sur sans que je le paye, une petite part de gateau.
Donc, à mon avis, partir seul(e) est la meilleure façon de "faire" le Chemin.
Bonjour,
Je reviens de Compostelle. J’ai fait seule le Chemin aussi bien en France (Via Podiensis) qu’en Espagne (Camino Frances)
Aucun souci de sécurité. Meme les chiens que l’on dit quelquefois agressifs ne le sont pas tant que ça (un seul, vraiment effrayant, rencontré en cours de route )
Le seul vrai problème, c’est la solitude : meme si elle est voulue et choisie, elle peut-etre, quelquefois, difficile a vivre. Mais ça ne dure que le temps d’une bonne crise de cafard (du moins, ce fut ainsi pour moi) parce que le Chemin est aussi l’occasion de rencontres fantastiques. Aussi bien parmi les autres pèlerins que parmi les "autochtones".
J’ai ainsi le souvenir d’un couple de retraités qui m’a offert une tasse de café à Cravencères ou d’une petite mamie espagnole qui m’a offert une fraise en s’arrêtant pour me faire la causette (elle parlait plutot bien le français)
Je n’aurais certainement pas fait ces rencontres si j’avais été intégrée dans un groupe.
Et je ne parle pas des bistro espagnols où je rentrais le matin tot pour un "café con leche, Señor, grande por favor" auquel s’ajoutait souvent, sans que je l’ai demandé et bien sur sans que je le paye, une petite part de gateau.
Donc, à mon avis, partir seul(e) est la meilleure façon de "faire" le Chemin.
partir en groupe ne supose pas qu’on est forcément des moutons de panurge et qu’on est pas capable de s’en détacher pour discuter à droite ou à gauche ! discuter, faire connaissance, faire de belles rencontres, n’est pas l’apanage du compostelle, ça se fait ailleurs !
Je suis contente de lire ton commentaire, Marie. Je vais le faire seule également. Je crois qu’effectivement, les gens, pèlerins ou Espagnols, auront plus facilement tendance à adresser la parole aux personnes seules, qu’aux groupes.
Mais ce n’est pas seulement pour ça que je crois que c’est mieux de le faire ainsi, -quand on a le choix- mais plutôt, c’est une question de marche : la vitesse de marche, la quantité de pauses et les blessures qui surviennent, seront toujours des choses personnelles et uniques à quelqu’un.
Bonjour,je suis rassuree a la lecture de ton message car j’ai l’intention de partir seule de st jean pied de port le 3 septembre 2009 maintenant si quelqu’un veut m’accompagner voici mon adresse mail.martine maj58@hotmail.fr
Bonjour
J’envisage continuer le pèlerinage depuis d’Orthez (Argagnon sur GR 65) tout seule.
Vous m’avez encouragée.
Que pensez-vous de me conseillez au moment traverser les Pyrenées ?
J’ai 63 ans, bonne santé, ancienne sportive et voudrais partir vers 19 septembre.
merci mille fois
zofia
Voir en ligne : les femmes seules sont-elles en......