> Le « camino francés » est-il trop fréquenté ?
J’ai parcouru le chemin en 2004. Je suis parti du PUY le 12 juillet, arrivé a St Jacques le 14 septembre, pour toute la partie en France je campais,poids supplémentaire, mais autonomie et économies. Puis j’ai reexpédié ma tente et je suis allé en gîte en Espagne, pas mal de monde mais toujours une solution pour la nuit. En 2004 dans la province de Castilla y Leon des ’’base de acampada’’ etaient a la disposition des pèlerins sur 9 étapes entre Villafranca Montes de Oca pour la première et Villafranca del Bierzo. couchage en tentes équipées de matelas, sanitaires en bungalos très propres douches nombreuses (12) Accueil super, environ 100 places a chaques fois, au maxi 25 pèlerins !
ET en même temps le gîte d’a côté comble avec 2 douches ! De plus ces camps etaient totalements gratuits. D’après les Hospitalièros l’expérince devait se renouveler cette année mais avec moins de places !!
De toutes façons le chemin est magique,et s’il y a beaucoup de monde,cela provoque plus de rencontres et ça c’est formidable
J’ai parcouru le chemin en 2004. Je suis parti du PUY le 12 juillet, arrivé a St Jacques le 14 septembre, pour toute la partie en France je campais,poids supplémentaire, mais autonomie et économies. Puis j’ai reexpédié ma tente et je suis allé en gîte en Espagne, pas mal de monde mais toujours une solution pour la nuit. En 2004 dans la province de Castilla y Leon des ’’base de acampada’’ etaient a la disposition des pèlerins sur 9 étapes entre Villafranca Montes de Oca pour la première et Villafranca del Bierzo. couchage en tentes équipées de matelas, sanitaires en bungalos très propres douches nombreuses (12) Accueil super, environ 100 places a chaques fois, au maxi 25 pèlerins !
ET en même temps le gîte d’a côté comble avec 2 douches ! De plus ces camps etaient totalements gratuits. D’après les Hospitalièros l’expérince devait se renouveler cette année mais avec moins de places !!
De toutes façons le chemin est magique,et s’il y a beaucoup de monde,cela provoque plus de rencontres et ça c’est formidable
J’avance par étape sur le chemin. C’était la deuxième année cette année. Il y avait autant de monde que l’année passée...mais il est vrai que les randonneurs espagnols du week-end peuvent "gonfler" le nombre de marcheur sur chemin et les auberges.
Aussi, je confirme que par rapport à l’an dernier, les gens se levaient beaucoup plus tôt (parfois à 5 h) pour être certain d’avoir un lit. C’est ainsi, il faut l’accepter :), pour les futurs partants je crois qu’il faut intégrer ce fait dès le début, et à vrai dire on s’y habitue au fil des jours. (par contre dur de s’habituer aux indélicats qui allument la lumière et parlent fort sans remord de réveiller les autres).
Alors amis "lève-tôt", si tu souhaites partir super super super tôt, ya aucun souci, mais mais mais...prévoit ton sac la veille au soir pour ne pas réveiller le dortoir en entier ! merci :)
Et si c’est la peur de ne pas trouver un lit à l’étape suivante qui te provoque des réveils quasi-nocturne, je te souhaite de trouver au long de ton Chemin la Confiance.
Parfois la recherche d’un lit pour se reposer quand l’albergue est pleine, est une formidable aventure, et une merveilleuse occasion de rencontre, d’échange, de partage...Rien n’arrive par hasard.
Mes meilleures pensées à ceux qui avancent.
ML
Mon épouse et moi avons cheminé en juillet 2004 de Mont de Marsan à Burgos et cette année, en juillet aussi, de Burgos à Santiago. C’est avec beaucoup de plaisirs et d’émotions que nous avons avancé sur le chemin. Que cette experience est grande !
Pour répondre au fait que certains se lèvent tôt, je voudrais seulement dire qu’il ne surtout pas généraliser. Il nous est arrivé sur des étapes longues et difficile de nous lever à 5 H, non pas pour avoir un lit dans un refuge mais pour éviter les fortes chaleurs de l’après-midi qui ont parfois dépassées 40°. Le reste du temps le lever était à 6h pour les mêmes raisons. Mais je dois reconnaître que certains ne respectent pas le repos des autres pélerins.
Pensées Jacquaires
Claude
Bonhour loulou !
pourrais tu m’indiquer les adresses des campings fréquentés en espagne ou des camps de base.
je pars en septembre depuis vezelay.
merci pour ton témoignage !
bien amicalement , francine.
Resalut Francine voici mon adresse internet tous ceux qui lisent peuvent me joindre directement ils seront les bienvenus
loulou.favier@laposte.net
bonjour loulou tu viens de me rassurer je pars debut avril du puy je prend le camino frances et je me demandais vraiment si je n allais pas changer de chemin mais tu ma rassuree merci
bonjour
tes conseils sont precieux....
je compte faire le chemin en 2006 ou 2007 en VTT au depart du PUY. qu’en penses-tu ?
peux-tu m’eclairer à ce sujet ? l’idée de camper me parait interessante.
merci de ton aide.
Bonjour, je vous approuve entièrement madame. Ce n’est pas tant la course au lit qui fait se lever plus tôt beaucoup de personnes (honnêtes et logiques), mais bien la peur des fortes chaleurs au plus fort de la journée. En effet, lors de mon premier pèlerinage en 1999, j’ai connu moi-même ces difficultés de forte chaleur lors de la traversée de la Castille et de la Meseta. Je m’explique : comme je ne partais ou débutait qu’à 8h-8h30 le matin (certes c’est un libre choix !)et que je parcourais chaque jour 40 à 50 kms (au regard du temps de libre dont je disposais), j’étais à chaque fois confronté à des températures de plus de 40°-42°(à l’ombre !) surtout durant l’après-midi !
Je débutais donc à 8h-8h30 (après avoir copieusement déjeuné-très important et bu 1 litre à 1 litre et demi d’eau progressivement et lentement à petites gorgées une heure au-paravent)et je parcourais ainsi de 20 à 25 kilomètres environ jusqu’à 12h-12h30, je m’arrêtais ensuite pour me désaltérer et ou en fonction du moment et de la distance restante (sans course à l’échalote si je puis dire !)je ne m’arrêtais ensuite que vers 14h-14h30 pour prendre un sandwich au jambon fumé avec une bière(il faut penser à l’organisme pour le sel contenu dans le jambon fumé et la levure qui est bonne également et contenu dans la bière), puis je poursuivais ainsi tranquillement pour terminer soit vers 18h-18h30 ou exceptionnellement vers 20h-20h30(il faut aussi penser aux responsables des Albergues par respect). Je buvais toutes les heures une à deux petites gorgées d’eau, et il ne faut pas oublier de ne pas trop serrer au départ le matin les lacets des chaussures au regard du parcours effectué la veille, puis de les désserer un peu à chaque petit arrêt pour soulager les pieds (sans pour autant quitter les chaussures-mauvais !) et les resserer à nouveau un peu en repartant. Le plus important est de les serrer juste un tout petit peu plus dans les montées importantes et de les désserer à nouveau après (pour soulager le pied) tout comme pour les descentes où il faut faire très attention, car les descentes sont parfois toujours plus dangereuses - risques de chute, de glissade dûes aux feuilles mortes au branches de bois mort et aux racines(Là, le bourdon ou le bâton peuvent-être fort utile dans leur vrai rôle !). Avec mon sac à dos (13 kilos), j’emporte deux gourdes isothermiques placés de part et d’autre du sac et contenues dans des housses isolantes (à cause de la chaleur) et j’ai ainsi bu facilement 6 litres d’eau durant ces journées de fortes chaleur ! Le plus dangereux pour l’organisme dans ces cas-là c’est le fort risque de d’éshydratation et sinon les riques d’hypoglycémie liés à cela et aussi d’hyperglycémie. De plus, il faut boire beaucoup sinon souvent pour éviter les risque de tendinite. J’ai vu moi-même des gens transporter des bouteilles d’eau en plastique suspendues à l’extérieur du sac à dos et donc exposées aux fortes chaleurs et d’autres s’arrêter en plein soleil et pleine chaleur pour boire de l’eau-invraisemblable ! De plus à chaque arrêt, il faut tenir compte de la chaleur emmagasinée par le corps et donc l’organisme et du rythme cardio-vasculaire à ce moment précis (tension et pression artérielle !). Donc, il faut essayer de se mettre à l’ombre dans un premier temps, se couvrir au besoin (fine polaire)pour maintenir et ensuite abaisser progressivement la tension et la chaleur et ensuite seulement(15-20mn après) boire lentement à petites gorgées-attention à l’eau trop fraîche ou glacée !
Pour ce qui est de la fin de journée en arrivant dans un refuge, en fonction de l’heure d’arrivée, soit je prenais ma douche aussitôt en arrivant, soit je dinais de suite en liaison respect avec les hospitaleros du lieu qui ne l’ounlions pas sont pour la plupart sinon tous bénévoles (Ne l’oublions jamais et au regar du ou des services rendus !). Voila juste quelques petits explicatifs qui pourront peut-êtr vous servir ou à d’autres tant mieux. Je ne suis pas prétentieux, ni arrogant, mais juste un tout petit pèlerin comme tant d’autres, je me considère comme un tout petit grain de sable dans le désert ! Merci de me répondre, si vous le souhaitez.
Dans l’amour, la joie et la paix du Christ.
Denis pèlerin de Saint-Jacques et pèlerin de Dieu et humble petit serviteur devant l’Eternel.
Bonsoir Francis,
As-tu fais le pélerinage prévu en VTT ?
Merci de bien vouloir me faire part de tes impressions car je projette de partir après le 15 mai 2008 de Bordeaux en VTT pour ralier ensuite St Jean-Pied de Port et le camino francès.
bonjour je compte faire le camino del norte en 2009 peut etre avec une amie . nous serions en vtt et nous aimerions etre en autonomie casi totale velo+ remorque ;Quelques details me laissenet dans l’espectative . Peut on planter la tente sans risque . police ??? n y a t il pas trop de circulation ??? TROUVE T ON DES ENDROITS OU SE LAVER RIVIERE ETANG ECT MERCI DE TA REPONSE aace@club-internet.fr